Dans un passé lointain, un paysan se servait de deux jarres, qu'il portait sur les extrémités d'un bout de bois, afin d'approvisionner son foyer en eau fraiche.
L'une des jarre avait une fissure, ainsi elle perdait de l'eau au cours du chemin, pendant que l'autre jarre était en parfait état, et ne laissait couler aucune goute.
Pendant toute une année, le paysan ne livrait à sa femme qu'une jarre et demi d'eau à chaque voyage à la source.
La jarre parfaite était trop fière d'elle, et n'arrêtait pas de critiquer la jarre fissurée et lui reprocher de gâcher les efforts des paysan.
La jarre abimée se sentait inférieure, inefficace et se regardait comme étant un échec total. Un jour, elle s'adressa au paysan, lui confiant ce qu'elle pense, et surtout ce qu'elle ressent. Elle s'excusa auprès de lui puisque, à cause d'elle, il n'a jamais livré deux jarres entières d'eau à sa femme.
Le paysan fut touché par le sens de responsabilité de la jarre. Il lui répondit : " Ne te culpabilise pas, tu as fait de ton mieux pour m'aider à livrer l'eau. Je savait que tu es abimée, et j'ai planté des semences de fleurs sur le chemin afin de tirer profit de ton imperfection. C'est cette imperfection qui a permit aux fleurs de pousser grâce à toi. Au chemin de retour tu verras que les fleurs n'ont poussé que de ton coté, le coté de l'autre jarre étant souvent aride. J'ai souvent cueillit ces fleurs pour les offrir à ma femmes qui en est très contente".
Moralité : Personne n'est parfait, nous avons tous des fissures, des imperfections et des défauts. Il est temps de tirer profit de nos défauts au lieu de passer le temps à se lamenter. Nous avons des défauts certes, mais des qualités aussi. Il suffit de changer d'angle de vision.
L'une des jarre avait une fissure, ainsi elle perdait de l'eau au cours du chemin, pendant que l'autre jarre était en parfait état, et ne laissait couler aucune goute.
Pendant toute une année, le paysan ne livrait à sa femme qu'une jarre et demi d'eau à chaque voyage à la source.
La jarre parfaite était trop fière d'elle, et n'arrêtait pas de critiquer la jarre fissurée et lui reprocher de gâcher les efforts des paysan.
La jarre abimée se sentait inférieure, inefficace et se regardait comme étant un échec total. Un jour, elle s'adressa au paysan, lui confiant ce qu'elle pense, et surtout ce qu'elle ressent. Elle s'excusa auprès de lui puisque, à cause d'elle, il n'a jamais livré deux jarres entières d'eau à sa femme.
Le paysan fut touché par le sens de responsabilité de la jarre. Il lui répondit : " Ne te culpabilise pas, tu as fait de ton mieux pour m'aider à livrer l'eau. Je savait que tu es abimée, et j'ai planté des semences de fleurs sur le chemin afin de tirer profit de ton imperfection. C'est cette imperfection qui a permit aux fleurs de pousser grâce à toi. Au chemin de retour tu verras que les fleurs n'ont poussé que de ton coté, le coté de l'autre jarre étant souvent aride. J'ai souvent cueillit ces fleurs pour les offrir à ma femmes qui en est très contente".
Moralité : Personne n'est parfait, nous avons tous des fissures, des imperfections et des défauts. Il est temps de tirer profit de nos défauts au lieu de passer le temps à se lamenter. Nous avons des défauts certes, mais des qualités aussi. Il suffit de changer d'angle de vision.
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